| Comité International de Surveillance | |
| Nom original (VO) | International Oversight Advisory (IOA) |
|---|---|
| Informations politiques | |
| Dirigeant du CIS | Carl Strom |
| Affiliation(s) | Formé par plusieurs nations Tau'ri |
| Membre(s) | Liste du personnel du CIS |
| Informations historiques | |
| Date de création | 2004 |
Le Comité International de Surveillance ou C.I.S. (VO. International Oversight Advisory, ou IOA) a été mis en place par plusieurs gouvernements Tau'ri. Il est chargé de la supervision, de la coordination et du financement du programme Porte des étoiles, de l'expédition Atlantis et de l'expédition Destinée. Le Comité fut originellement créé grâce à un accord établi par le Major-Général Hank Landry, autorisant ainsi une organisation civile internationale à surveiller le Programme en échange d'un financement continu.
Vue d'ensemble[]
L'accord conclut entre le SGC et le CIS accordait à ce dernier un certain pouvoir sur le fonctionnement des équipes et des installations. De fait, il avait le droit de donner des ordres, mais aussi de désigner ou de renvoyer des membres du personnel du SGC. Néanmoins, les représentants du Comité n'étant généralement pas des agents de terrain, ils furent bien souvent contraints de laisser les opérations se dérouler comme les membres des expéditions l'entendaient.
Les membres du personnel du CIS étaient souvent présentés comme étant arrogants, égoïstes, cupides, xénophobes, bornés, voire même à la limite de la corruption. De même, le Comité International de Surveillance était généralement dépeint comme voulant imposer sa façon de faire aux équipes du SGC et aux expéditions, sans pour autant assumer ses erreurs lorsque les opérations tournaient mal. Leur échec le plus marquant fut lorsque les expériences de l’expédition Atlantis sur le rétrovirus permirent aux Wraiths d’obtenir des informations sur la manière d’atteindre la Terre avant la destruction des vaisseaux-ruches. Au cours de cet incident, le docteur Elizabeth Weir fut rappelée sur Terre pour un débriefing. Néanmoins, la réunion fut tellement tendue que Weir refusa d’y retourner après une pause. Elle refusait que ses décisions soient analysées et critiquées après coup. Elle déclara notamment que si elle subissait une attaque ennemie, elle avait d’autres préoccupations que celle de garder son emploi. Ainsi, le CIS ne souhaitant pas assumer la responsabilité de trouver un plan pour stopper l’attaque des Wraiths, Weir conserva son poste assez longtemps pour gérer cette crise. Cependant, même après que le plan de Weir ait permis de sauver Atlantis, le CIS voulut organiser une enquête dans le but de la démettre de ses fonctions pour manquement à son devoir.
De même, la “démission” du colonel Samantha Carter de son poste de commandement de l’expédition Atlantis est un autre exemple de l’arrogance persistance du CIS. De fait, environ un an après que cette dernière ait rejoint l’expédition, le Comité la força à quitter son poste, afin que Richard Woolsey puisse prendre sa place. Si le CIS pensait que la politique de commandement de Woolsey serait plus conforme à la leur, ce dernier réalisa rapidement qu’il ne pouvait pas suivre les règles du Comité lorsqu’il était confronté aux dangers existant dans la Galaxie de Pégase. (Stargate Atlantis : « Menace sur la Terre », « La Vie avant tout », « Contamination »)
Au cours du combat contre les Ori, le CIS autorisa une mission dans la galaxie d’origine de ces derniers afin de localiser l’Arche de Vérité et de détruire la Superporte. Cependant, ils ne pensaient pas que ce plan permettrait de remporter la victoire et ordonnèrent donc à James Marrick d’utiliser un système informatique Asgard afin de créer des Réplicateurs pour les utiliser contre les partisans des Ori. Une fois la menace neutralisée, le CIS devait lancer un code d’autodestruction intégré aux Réplicateurs. Cependant, les Réplicateurs tentèrent de désactiver le code, avant de finalement être mis hors service. Le Comité finit par s’excuser pour son erreur auprès de SG-1. (Stargate : The Ark of Truth)
La Division des opérations de terrain du CIS fut créée pour se concentrer sur la lutte contre les menaces extraterrestres présentes sur Terre. Il s'agit de la décision du Comité la plus soutenue à ce jour. (Stargate Atlantis : « Banni »)
Alors qu’Atlantis était sur Terre, le CIS refusa de laisser partir le vaisseau-cité, affirmant qu'il ne voulait pas faire de choix excessifs. Richard Woolsey déclara plus tard que le CIS préférait ne rien faire et laisser les autres prendre les décisions à leur place, ce qui l'avait fortement frustré lorsqu'il était leur représentant américain. Le CIS commença ensuite à faire pression pour qu'Atlantis devienne un état souverain sous sa juridiction. En effet, si le vaisseau-cité se trouvait sous le contrôle total du CIS sur Terre, ce dernier pourrait l'utiliser pour forcer d'autres pays à accepter leurs volontés et ainsi devenir le premier gouvernement planétaire. Ils voulurent ensuite essayer de démonter Atlantis pour récupérer la technologie qu’elle contenait. Dans une dernière tentative pour les arrêter, le général Jack O’Neill, conspirant avec Woolsey et le colonel Samantha Carter, profita du fait qu’Atlantis se trouvait dans les eaux territoriales américaines pour en prendre le contrôle. Le CIS commença alors à paniquer. Dans un effort pour garder Atlantis hors du contrôle américain, le CIS accepta de permettre à Atlantis de retourner dans la Galaxie de Pégase, affirmant que cela avait toujours été leur intention. Le CIS tenta également de s’emparer du Wraith Todd, afin de l’utiliser pour la recherche. Néanmoins, le major John Sheppard et les docteurs Carson Beckett et Jennifer Keller placèrent Todd en stase aussi bien pour bloquer les plans du CIS que pour résoudre le problème de faim du Wraith. (Stargate Atlantis : Legacy : Homecoming)
Personnel[]
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