Le bracelet Atanik était une technologie développée par les Ataniks, qui augmentait considérablement toutes les capacités naturelles de celui qui le portait, notamment en conférant au porteur une vitesse et une force sans précédent.
Détails[]
Ces brassards fonctionnaient en libérant un virus chez le porteur, leur permettant ainsi de « s'interfacer » avec le corps du porteur. Cependant, l’effet du bracelet n’était que temporaire, car le système immunitaire du porteur finirait par éradiquer le virus et créerait une immunité permanente contre celui-ci. Lorsque cela se produisait, le bracelet tombait tout simplement du porteur et celui-ci ne pouvait plus l'utiliser et se retrouveraient un peu sonné et évanoui avant et après que le bracelet tombe.
Cet aspect du dispositif a finalement conduit à la chute de la civilisation Atanik; les guerriers Ataniks ont développé une immunité contre le virus, rendant les brassards inefficaces, les laissant ainsi vulnérables aux attaques. Longtemps après la chute de la civilisation Antanik, plusieurs bracelets furent découverts par le Tok'ra Anise lors d'une étude archéologique de la planète des Atanik.
Les bracelets sont inefficaces sur les Goa'ulds, Tok'ras et Jaffas, probablement à cause de leurs symbiotes qui neutralisent le virus avant que le bracelet ne se verrouillent. De plus, les bracelets sont incroyablement résistants, étant pratiquement inamovibles une fois placés sur le bras de l'utilisateur le rendant permanent jusqu'à neutralisation du virus. (Stargate SG-1 : « Expérimentation hasardeuse »)
Utilisation après découverte[]
En 2000, Anise a apporté plusieurs de ces bracelets sur Terre et les a testés sur le colonel Jack O'Neill, puis sur le major Samantha Carter et le Dr Daniel Jackson, augmentant ainsi considérablement leurs capacités.
Carter était capable de bien voir dans l'obscurité sans la présence de lumière. Elle était également capable d'écrire un livre de mille pages sur la physique des trous de ver en moins de deux heures, tandis que Daniel et Jack pouvaient lire des livres en quelques secondes seulement. Les brassards provoquaient également un comportement erratique résultant d’une augmentation de divers niveaux d’hormones, ce qui créait une sensation d’ivresse chez le porteur. En tant que tels, ces appareils ont altéré le jugement de l'équipe et, dans certains cas, les ont rendus extrêmement agressifs ; à tel point qu'ils ont déclenché une bagarre au O'Malley's Bar & Grill après qu'un des clients ait insulté Daniel, le traitant de "geek". De plus, pour compenser ces capacités, le métabolisme du porteur est augmenté pour correspondre aux besoins énergétiques accrus du corps et être capable de manger jusqu'à quatre gros steaks en un seul repas.
Lorsque SG-1 apprit qu'un prototype de vaisseau-mère était en cours de construction par Apophis, l'équipe défia les ordres du SGC et sans autorisation de traverser la Porte des étoiles, et utilisa les bracelets pour maîtriser facilement les dizaines de Jaffas gardant les installations de construction du vaisseau. Cependant, pendant leur bref séjour sur les lieux, l'équipe a commencé à développer une immunité contre le virus du bracelet, rendant finalement les bracelets inutiles. Ce n'est que l'arrivée opportune de Teal'c qui a sauvé l'équipe de la mort lors de la destruction du vaisseau.
Réalité parallèle[]
Dans une réalité parallèle, une équipe SG-1 alternatif qui est arrivé dans la réalité principal, avait l'air d'être constitué de Jaffa portant ses bracelets. Dans cet réalité, soit les bracelets furent conçu par les Ataniks qui avaient aussi résolu les problèmes résultant des augmentations des niveaux d'hormones et de faim, ainsi que la possibilité d'être porté par les Jaffas. Soit c'était la Tok'ra qui avaient réussit a modifié les bracelets.
Note[]
Alors que le brassard fessait effet sur le dr Daniel Jackson, il pu lire l'inscription, qu'il traduisit par "Un grand pouvoir implique une grande responsabilité". C'est le code héroïque mis en avant par Spider-Man. Anise ajoute un corollaire : "Et la capacité d'avoir de grandes conséquences".